Résistant sénonais, déporté au Struthof en particulier, Jean Léger a publié en 1998 sous le titre, Petite Chronique de l'Horreur Ordinaire, un ouvrage qui est un récit et une analyse de son expérience concentrationnaire.

Pour Michel Baudot auteur du compte rendu, "Voici un ouvrage attendu et espéré (...) Le style en est vif et alerte, dépourvu de pathos (...)  Jean Léger possède un ton propre ponctué par l'ironie, cette "politesse du désespoir". Sa chronique est écrite au présent immergeant le lecteur dans un cloaque de terreur pure. Le récit est concentré en 170 pages (sans les annexes) s'articule en une vision dantesque, sur trois cercles : Purgatoire, Enfer 1, Enfer 2..."

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